En attendant de pouvoir vous rassasier de combats le 26 février prochain à l'Arena de Reims lors d'Hexagone MMA 3, nous vous proposons une interview d'un combattant par jour. Zoom sur le français Alix JeanGuillaume (3v-5d) qui sera opposé à son compatriote David Karp (4v-4d) chez les welterweight.
Bonjour Alix, un peu d’appréhension pour ton prochain combat ?
« Non, pas du tout. Bien au contraire, j’ai vraiment hâte ! »
Comment gères-tu le stress ou la montée d’adrénaline avant une échéance ?
« Généralement, j’écoute ma musique et je plaisante toujours avec les personnes qui m’entourent. Je suis quelqu’un de très ouvert d’esprit, j’ai besoin d’extérioriser par la communication. »
À qui ou à quoi penses-tu juste avant de monter dans la cage ?
« À ma fille, toujours à ma fille. »
Comment tu t’es préparé pour ce combat ?
« J’ai un peu changé ma méthode. Tout d’abord, avec mon préparateur physique, nous avons fait beaucoup d’explosivité car mon dernier combat a été un résultat que je n’ai jamais eu jusqu’à présent. Je suis désormais très complet, que ce soit en striking ou au corps-à-corps. Il était important de changer la technique d’approche et surtout d’appréhender le combat afin d’éviter d’avoir peur et d’attendre. On espère que le 26 février on aura un résultat satisfaisant. »
Penses-tu être au meilleur de ta forme ?
« Je ne pense pas que l’on puisse atteindre un pic pareil. En effet, mon mental est plus que présent et mon corps est prêt à l’affrontement. J’espère que le combat va envoyer du lourd. En attendant, je reste sur mes gardes pour ne pas me blesser. »
As-tu un petit rituel et/ou objet fétiche qui te porte chance avant chaque combat ?
« Non pas spécialement. Je reste toujours très ouvert d’esprit comme dit précédemment, je communique énormément. Je parle afin d’évacuer et de penser à autre chose. »
D’où provient ton surnom « LA STACHE » ?
« C’est un délire avec mon manager qui est sorti de nul part. À un moment, j’ai laissé ma moustache et Manu m’a appelé « la stache » sur les réseaux et depuis c’est resté. Je ne suis pas prise de tête avec ça et j’en rigole aujourd’hui. »
